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le blog de l'institut

20 février 2008

Je baise ma mère et j'encule ma soeur.

La_madone_au_long_cou__1545
La vierge au long cou
Parmegianino, 1545





La sonnerie du métro est drole. Je ne sais pas combien de temps ils se sont mis d'accord pour trouver le bon compromis. Mais celle ci est un peu stressante. A paris, c'est encore pire. Les sonneries de la sncf sont plus relaxantes.


Le massacre de l’autoroute de Basrah, perpétré après le cessez-le-feu, contre des civils en fuite et des troupes en déroute et se retirant, découpés en morceaux ou incinérés par le « tir au pigeons » du Général Schwarkopf. Mais toute la guerre, bien entendu, ne fut nullement différente. Saddam Husseïn avait proposé, et même, de fait, avait commencé de se retirer du Koweït avant que le carnage ne commence, mais, comme toujours, pour les Etats-Unis, il était « trop tard » pour une conciliation. Les autobus, les camions, les voitures particulières furent eux aussi pris pour cibles durant la totalité des quarante-deux jours de massacre non-stop. Des camions transportant des médicaments, de la viande, des produits de première nécessité, furent brûlés, avec leur conducteur. Des soldats occidentaux prirent leurs « photos de tableaux de chasse », horribles, avec les restes pitoyables des victimes calcinées et démembrées.

Cette fille a l'air de s'ennuier dans cette boite. Tout le monde se trémousse en cadence. Elle a les yeux dans le flou, avec cette perfection aboutit qu'elle semble réellement ne penser à rien. Une bulle d'air magnétique l'entour. Le sol est plutôt sale. Il fera froid demain, surement. Je vais devoir rentrer à pied.

En juin 2004, un article de Richard Norton Taylor dans le Guardian a affirmé que 28 certificats de décès avaient été dénombrés. Parmi ceux-ci, on trouvait celui d’Ahmad al Helfi, un travailleur de 19 ans, qui selon le certificat de décès, arborait des « marques de coups et de torture sur tout le corps ».
Haider al Lami, âgé de 21 ans, lui aussi un travailleur, portait de traces de « plusieurs blessures par balle sur tout le corps et de mutilation des organes génitaux ».
Hamed al Suadi, 19 ans, a « des blessures par balle au cou et au pied. Il y avait aussi des marques de torture : le bras droit est fracturé et le visage est complètement déformé. »
Ali al Jemindari, 37 ans, a « plusieurs blessures par balle à la tête, au visage et sur le corps, avec des marques de coups au cou. Son bras droit a été brisé au niveau de l’épaule. Il y a une profonde blessure à la joue droite et l’œil droit a été arraché. »


La caissière n'est pas très gentille. De plus, sa mèche est quelque peu agressive. Mais ce supermarché est beau. Il ont plein de dentifrice, et aussi des rouleau de papiers toilette. Le sol est toujours très propre, c'est agréable. Ils ont aussi des produits italiens, et du pain. Je compte y retourner, et pourquoi pas le faire connaître à des amis.

Doté d’une technologie de pointe sans doute parmi les plus avancés du monde notamment en ce qui concerne les équipements électroniques, pouvant atteindre une vitesse de pointe de 45 nœuds, le «Joshan» de même que son frère jumeau, le «Peykan», disposent d’une redoutable puissance de feu. Patrouilleur lance-missiles, armé en supplément d’un canon sous-marin de 76 mm, à usage variable, le plus moderne du monde, appelé Fajr, il peut atteindre des cibles sous-marines et aériennes distantes de 19 km. Il peut lancer également plusieurs types de missiles et des roquettes d’une portée dépassant 100 km.
L’Iran a également testé une série de missiles antinavires mer-surface, réputé être «le plus rapide du monde». Propulsé à une vitesse de 362 km/h, le missile est destiné à détruire de grands sous-marins.


Je ne sais jamais trop comment régler mon chauffage. D'un coup, j'ai trop chaud, alors je l'éteins et j'ouvre les fenêtre. Après, j'ai trop froid, alors je referme tout, et je met le chauffage a fond. Mon voisin n'arrête pas de travailler. Il faudrait que je lui parle de cette histoire de chauffage. Mon plafond est sale, je ne sais pas comment c'est possible.

L'assaut est déclenché le 13 mars contre le point d'appui « Béatrice » tenu par le 3/13 DBLE (3e bataillon de la 13e demi-brigade de Légion étrangère) commandé par le commandant Pégot.
Cinquante mille hommes avec une artillerie, principalement composée de mortiers, nombreuse et efficace submergent au bout de 56 jours les 14 014 Français du camp retranché. Les avions, venant de Hanoï, étaient en limite de rayon d'action, gênés de surcroît par une météo capricieuse (mousson).
Les soldats viêt-minh qui avaient creusé sous Éliane 2 une longue galerie, y font exploser plus de 900 kg de TNT, quelques heures avant que la garnison française ne soit définitivement submergée, le 7 mai 1954. Ordre écrit de cessez-le feu du lieutenant colonel Bigeard, porté au lieutenant Allaire le 7 mai 1954 à Diên Biên Phu, sur position Eliane3 à 17h00. Le camp retranché tombait à 17h30.


J'aurais du mal à me garer si j'avais une voiture. Je pense qu'il faut tourner un moment dans le quartier avant de trouver une place. Ou alors, payer une place dans un parking souterrain. Des personnes ont peut etre des garages. Mais ce n'est pas une bonne solution. La voiture, c'est mieux a la campagne en fait. Et puis les voitures font du bruit.

Il y a un système d’opacité totale, sans transparence. On n’est pas dans un système d’efficience, pas dans un système d’auto-régulation, dans un système qui va à l’équilibre. Nous sommes dans un système d’opacité qui peut conduire à n’importe quelle panique.
Le problème de la crise du crédit, c’est que s’il n’y a plus de crédit les boites s’arrêtent, elles licencient, les gens se retrouvent au chômage. On peut avoir une crise de type 1929. Mais je ne le crois pas.
Cela peut avoir des conséquences sur les économies réelles. Il ne faut pas croire que les économies émergentes comme la Chine, sont à l’abri. Ce ne sont pas des économies qui fonctionnent en autarcie. Au contraire. La Chine est financée par des capitaux américains et produit pour les consommateurs américains.


Quand je reçoit de la publicité dans ma boite au lettre, en général, je ne la jette pas. Je la met dans la boite du voisin. Je ne sais pas qui est ce voisin. Mais je pense que cela l'énerve, puisque desfois, les publicité reviennent dans ma boite. Ou alors, il y a peut etre tout un petit manège d'échanges pollueur de publicité. Toujours est il qu'il y a un imbécile au bout de la chaine qui finit par jeter la publicité à la poubelle.

La série "spécial femmes mures" et baise anale en famille vol 1.p> Scénario: Victor, qui a la trique dès qu'il se réveille, ne trouve rien de mieux à faire que de mettre la bouche de sa vieille copine à contribution pour lui vider les burnes. Mais le salaupiaud en veut plus et il va copieusement enculer sa copine avant qu'elle aille au turbin. Son pote n'est pas en reste, Victor lui a tout avoué et lui aussi va vouloir gouter aux vieilles mamelles de sa copine. Ne manque plus que la voisine pour se méler à la fête. Elle rentre du boulot, Sébastien débarque et va lui faire macher son gros crayon, ce qui déplait fortement à Victor qui fessera le petit cul de la voisine et lui enfoncera son stylo rechargeable au fond du cul.
Un film spécial femme mure avec au programme: copieuses et profondes sodomies, culs étroits et bien labourés, éjacs faciales abondantes, fesses et culs rouges, spécial femmes à lunettes maculées de foutre.



Mon ventre est gros. Je peux compter 4 bourrelets. Le premier est le plus imposant. Il peut recouvrir ma ceinture. Les 2em et 3em sont une sorte de raisonnance au premier, un écho. Le 4em  est quasiment inexistant. Je devrais maigrir. Mais je n'aime pas trop le sport. Un régime suffira peut  etre. Ou alors, j'arrête de me regarder. Dehors, desfois, on entend le chant des oiseaux.

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15 septembre 2007

Tomber trois fois, se relever zéro.

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Henri Matisse
Jazz, planche X, L'enterrement de Pierrot.



J'aime pas ces petits branleurs qui vont à la FIAC. Si vous ne savez pas ce que sais, vous êtes mes amis et je vous aimes. C'est la foire  international d'art contemporain, et c'est à vomir. Pourtant, c'est con, je suis en histoire de l'art, et j'ai même fait des exposé sur des artistes contemporain.
Le pire, c'est que j'aime l'art contemporain, mais n'aime pas les gens qui aiment l'art contemporain.
Je préfère les boulangers.
Ce ramassis de bobo prétentieux qui vont déblatérer sur les tenants et aboutissants des recherches de ce jeune artiste japonais disciple de Buren et Klein, qui dénonce notre société de consommation avec une chemise blanche ralph lauren.

J'essaierais quand même d'aller faire un tour à la maison du Chaos pendant la biennale d'art contemporain de lyon, pour la Borderline Biennial‏. Le problème, c'est qu'il faut avaler une gellule, et qu'ensuite, on te fait une échographie qu'on imprime, et c'est ce qui te sert de passe d'entrée. Problème: Je n'arrive pas trop trop à avaler des gellules...Sérieux, je trouve ça super gros, et ça passe pas quoi. Quand je suis malade, je prie pour ne pas avoir de gellules...Peut être que je pourrais avoir une dérogation. Mr Ehrmann me laissera peut être entrer, je dois avoir une radio de mes poumons qui traine quelque part...

D'ailleur, les historiens de l'art du dimanche qui tiennent conférence devant « les noces de figaro », au Louvre, m'emmerde aussi.

Hier soir, sur la télé local de lyon, y avait l'interview d'un jeune metteur-en-scène-pull-jaune-noué-sur-les-épaule. Je le hais. Je hais ces merdeux avec des éspèce de lunettes carrées à la con, qui prônent le rassemblement autour d'oeuvres de théatre. Baratinant sur la noblesse de la montée sur les planches, sur le risque du comédien face à son double et à mon cul bref, je ne l'aime pas.

Je n'aime pas non plus les gens qui ont lu Zarathoustra comme seul livre de philo, et qui tiennent conférence sur les terrasses de café, le samedi après midi, un verre de Manzana à la main. En général, ce type d'individu a lu, en deuxième livre «  3 essais sur la théorie sexuelle ». Egalement L'alchimiste et l'existentialisme est un humanisme, je ne met plus de guillemets, ça me fatigue.

Je préfère de loin les caillera qui traine tout l'apres midi à perrache, en buvant des 86, avec des Requin défoncés au pied, sans lacets à cause des gard'av.

Dans un sens, je rêve le jour ou la culture disparaitra une bonne fois pour toute, ou l'avènement de la culture foot-bière-julien courbet-avril lavigne-la roue de la fortune.
Et puis de toute façon, je suis tombé 3 fois et je me suis relevé zéro, alors pourquoi ne pas entrainer tout le monde dans ma chute...

Sinon, si vous voulez continuer à rester intelligent ( bandes de cons) sachez que l'exellentissime émission de Daniel Schneidermann; arrêt sur image, va reprendre d'ici janvier, sur le net. Afin de garder une liberté absolut, ce service sera payant. Le prix à payer pour de l'information libre et sans contrainte.   http://arretsurimages.net/

Imaginez bien également que je suis au plus bas depuis que j'ai appris la décision de la FIA d'exclure mercedes de la course au championnat du monde des constructeurs. Ca pue la magouille tout ça, Ferrari a mis la pression. Reste le championnat du monde des pilotes, et j'éspère bien que Hamilton et Alonso rafleront les deux premières places, histoire de foutre les boules à ferrari.

Ajoutez à cela que Cyril lignac officie toujours sur M6 dans « oui chef » et vous comprendrez que je frôle la depression en ce moment...

9 septembre 2007

Le vilains loup a tué le poulet.

Ecce_Homo
Ecce Homo
Titien.



Je suis dans la chambre de ma mère.
Je retrouve un ancien cahier de mes cours de CP. Il y a mon nom et ma classe inscrit en rouge bien marqué par la maîtresse sur la première page. Après, c'est mal écrit, tremblotant, avec des corrections vertes partout.
Le cahier est remplit au trois quarts. Les dernières phrases inscrites sont des exercices d'orthographes, je cite:
«  J'éspère qu'il n'aura pas peur. Le vilain loups a tué le poulet. »
Après, il y a des pages blanches, vierges, avec les lignes pour écrire droit, comme-il-faut.
Dans cette rupture, cette cassure qui suspend le récit, autour d'on ne sait quel attente, se trouve le lieux initial d'où est sorti ce que je suis devenu aujourd'hui. Ces lignes tracées et restées dans le vide depuis des années, sont les fils tendus de l'enfance et de la peine.

Dans un de ses derniers livres, Bukowski rappel une lettre reçut d'un détracteur, qui lui reprochait d'avoir dit qu'il n'aimait pas shakespear, lui reprochant ainsi d'inciter toute une génération à ne pas lire ses livres. Il lui répondra alors qu'il sera en phase terminale, un pied dans la tombe. Je cite: « Je te pisse à la raie branlotin, et tu ne connais pas la meilleure? Je n'aime pas non plus Tolstoï. »

Je me demande ce que j'aurais fais si j'avais vécu pendant la seconde guerre mondiale TM.  Ça m'a occupé toute un après midi l'autre jours. Est ce que j'aurais fuit en Angleterre rejoindre De Gaulle? Est ce que je serais entré dans la résistance? Est ce que je serais allé faire mon STO en germany ? Est ce que j'aurais cuisiné des Kartoffel pour la division Das Reich ? Probablement que je me serais lamenté devant cuisine tv et les grands prix de formule 1. Merde, y avait pas ça pendant l'occupation ? Quel saloperie la guerre.

Si vous n'avez rien a faire, je vous propose d'aller faire un tour à thonon-les-bains-city dans le 7 4 , de vous poser un matin à 8 h sur la place devant les ursulles, de fumer une clope en regardant le lac, et de fermer votre gueule. Vous serez pas trop con l'espace d'un instant.

28 août 2007

Etat de béatitude.

Pi_ta
Pièta
Michel-Ange.



Un entretien d'embauche, c'est des gens qui ne veulent pas savoir, qui posent des questions à des gens qui ne peuvent pas savoir.
Pourquoi on se prend éternellement pour des cons, à l'aide d'usages pré-établis, qui ne servent qu'à préserver les extérieurs, alors qu'en fin de compte, on pourrais résumer notre entretien à ça:

-Salut p'tit con, assis toi, t'as l'air tellement gros que tu dois être crevé à rester debout.

-Merci vieille bique, t'as tellement de ride qu'on dirait que tu t'es faite greffer de la peau de dindon sur ta gueule.

-Bon, j'te préviens tout de suite, ton dossier est merdique, tu peux te foutre le poste dans le cul, en plus, j'aime pas ta gueule.

-D'accord, si c'est comme ça, j'me casse tout de suite, j'voudrais pas rater « bon appétit bien sur ».

-Salut du con.

-Mort aux vaches.


En temps de guerre, on dit que les loups réaparraissent, dans les campagnes, et aux abords des villes.


La journée avait TELLEMENT bien commencé, que j'ai profité de cet état de béatitude la plus totale pour aller à IKEA qui se trouve à 45 min en tram de chez moi.
Putain mais on m'avait pas prévenut que c'était une usine à enrhumer du crétin là bas. déjà je débarque, on a pas le droit de marcher ou on veut, il faut suivre un sens de circulations, avec des flèches au sol. Donc pour sortir du magasin, il faut le traverser en long en large et en travers, en supportant la déambulation chaloupé d'un ramassis de cass'os qui viennent regarder des meubles qu'ils ne se paient jamais, emmenant avec eux leurs gosses qui se cachent sous les tables du rayon «  ameublement d'intérieur », qui reversent des lampes qui font éclater des ballons sous ta gueule, et moi je comprend tout à fait les animaux qui s'échappent affolé, qui s'enfouissent dans des tanières, qui sortent leurs griffent, qui s'envolent en chiant sur les pare-brise.

Je trouve ce que je veux...j'attends 26 minutes pour qu'une vendeuse se dégagent de la meute, je lui glisse à l'oreille qu'il faut vraiment s'occuper de moi, sinon je vais faire une crise d'épilepsie et baver et me tortillant sur les canapés convertibles à monter soi même. Je travers TOUT LE MAGASIN pour arriver aux caisses, je paie cette saloperie, et je me ressource au rayon « cuisine suédoise » un moment...

Cher Charles Bukowski, tes histoires sur les champs de courses me casse les couilles, et je n'aime pas Mahler.

Ca suffit pour aujourd'hui, prenez soin de vous.

8 août 2007

Ma vie c'est pas du Marc Levy.

V_nus_et_vulcain
Le tintoret.
Mars et Vénus surpris par Vulcain.



Il y a aussi un voisin en face de chez moi. Oui je sais, j'ai déjà dit qu'il y en  avait une en dessous, mais que voulez vous, il y en a en face, à coté, autour, derriere moi et je ne sais où encore...
Je vous raconte ça parce que mon voisin d'en face est en post-rupture amoureuse avec sa copine, et il panse les plaies d'une déchirure sentimentale dans ce que les hommes appelles faire-la-bringue-et-se-taper-des-connasses.
Le hic, c'est que la connasse en question n'est pas seule dans son appart, à 3 h du mat, puisqu'il y a le pote de mon voisin qui est resté aussi, et qui ne compte pas partir, compte tenu des commentaires onomatopique qu'il pousse à la fin de chaque phrase de la susdite connasse «  oulalaaa celle laaaaa. »
Cette jeune fille ponctue elle aussi ses phrases par des rires rafraichissants que l'on pourrait dénommer des gloussemments. Elle est blonde je ne peux plus vous le cacher.
Bref, vous l'avez compris une fois de plus, cette jeune fille est en perdition, et pusieurs choix s'offrent à elle.

-Elle se defenestre. Ses funérailles auront lui 3 jours plus tard en l'église sainte-germaine de la constipation, tout le monde sera très triste et on ira prendre un verre à la fin de la céramonie au bar d'en face dénommé «  chez fonfon ».

-Elle passe la nuit avec les deux hommes. ( Quoi, genre il n'y a que moi qu'y a pensé à ça..)

-Elle vient trouver refuge chez moi, s'arrête un instant sur mon regard, et je vois l'amour naitre au fond de ses yeux noirs, elle m'embrasse fougueusement, je lui dit qu'elle est aussi belle que ma dernière audi TT acheté dans Need for Speed Underground 2.  Le mariage a lieux 2 mois plus tard en l'église Sainte Judithe des beignets de calamar. On part en vacance sur les îles bretonnes. Elle vomira sur le bateau son sandwich au paté, elle me donnera 2 beaux enfants qu'on appelera Matéo et Hector, je lirais des bouquins de Musso, elle regardera motus à la télé, je prendrais de la coke et j'irais aux putes.
Et bien j'en termine avec ce suspens chère lecteur, et je t'annonce que ce n'est aucunes des propositions que se réalisera, puisqu'en fait, je me suis tout bonnement endormis.

Pensée du mercredi 8 aout 3h37 : Je suis définitivement con.


Cela dit, mon sommeil a du bon, car je m'imagine champion du monde des rallys à V rally3. Je suis une star mondiale, des filles siliconnés m'entourent alors que je fait une demonstration de mon sport assis sur la chaise de mon salon.
Cela dit, être champion du monde en jeux vidéos n'offre que des avantages. Je risque au mieux une foulure du pouce, au pire de m'entourer le fil de ma manette dans mes pieds et de me casser la gueule tout seul, comme un con, dans mon salon.
Qui plus est, cela permettrait de faire des cv tout a fait insolites.
Exemple: Charles Micon, Sartrouville, Champion du monde des rally, Sniper, postier, marier 2 enfants.

Sinon, j'ai glandé inlassablement sur le Net à la recherche de Blogs cultissime. J'en ai trouvé quelques-uns. Une jeune fille notemment, digne disciple de Marc Levy, qui explique que « l'écriture est vraiment ce pour quoi elle est faite », elle « le sent au plus profond » d'elle même, comme quelque chose « d'inexplicable ». Quand elle s'installe derrière son écran, les mots s'affichants sur l'écran et le « doux murmure que font les touches du clavier frôlé par ses doigts » l'ennivre. Elle sait qu'elle est faite pour cela. D'ailleurs, elle a relevé l'adresse de plusieurs maison d'éditions.

C'est exaspérant, mais le nombre d'individus pensant cela ne fait que croitre j'ai l'impression. N'importe quel dadet légèrement dépressif pense avoir un petit goncourt qui germe dans sa tête.
Pourquoi c'est toujours vers l'écriture que ces gens là se tournent? Ne pourrait-on pas espérer une autre vocation comme, je ne sais pas moi, la charcuterie ?

Exemple: La charcuterie est vraiment ce pour quoi je suis faite. Je le sens au plus  profond de moi...C'est quelque chose d'inexplicable. Quand je m'installe derrière ma machine a faire du saucisson, et que je sens la chaire a saucisse s'engouffrer dans le boyau, la douce pression qui enfle soudain entre mes doigts graisseux, je suis ennivrer par ce chant subtile. Je sais vraiment que je suis faite pour cela. J'ai d'ailleurs relevé l'adresse de plusieurs boucherie-charcuterie.

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5 août 2007

Toi.

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Giorgione Del Castelfranco
La tempête.



En fait, j'entends surtout parler de toi le Dimanche matin. Moi, je dort. Ma fenêtre est ouverte, il fait chaud. Toi, tu es juste en dessous, c'est logique, tu es ma voisine.
Tu fais un peu de bruit avec tes assiettes à la con, tu prépare le déjeuné pour ton mec. Oui, je me lève tard sûrement. Presque 12H. Aussi, je me couche plus tard que toi. Peut être que je t'emmerde, que je fais trop de bruit. Tu m'as jamais rien reproché.

D'ailleurs, tu m'as jamais vraiment parlée. Depuis 3 ans, je t'ai croisé quelque fois dans les escaliers. Tu descend ton chien, ton gros chien, celui de ton mec sûrement, toi, tu aurait préféré un chat par exemple, mais voilà, lui, il voulait un gros chien, que tu sort tous les jours. Pour te venger, tu as acheté des piafs qui s'emmerdent dans une cage chez toi, je les entend.

Souvent, tu met des jeans un peu trop moulant, des baskets que tu trouve mode, mais qui, désolé, ne le sont plus vraiment. Sûrement parce que, depuis que t'es avec ton mec, tu vois un peu moins tes copines, tu fais un peu moins de shopping. Au fait, la poudre rose sur les pommettes, quand on a la peau pâle comme toi, il faut être parcimonique. Tu ne l'es pas. Quand tu attend aussi patiemment que telefooot soit finit pour que ton mec vienne manger, tu vois, je trouve que tu te dévalorise.

Mais après, tu es certainement heureuse. Je vous entend causer. Juste le dimanche midi, parce que les autres jours, ton mec bosse. L'interim, c'est fatiguant. Vous en parlez desfois. Tu essaie de lui faire comprendre certaines choses. Et puis, je vous connais, quand ça comment comme ça, vous finissez par vous engueulez. Et puis, après, ton mec te dira de « fermer ta gueule parce que tu y comprend rien », alors j'entends que tu va faire la vaisselle. Peut être que tu écrase une petite larme entre les bulle de liquide vaisselle, en pensant à ce que ta mère te disait de ce mec. Tu lui en veux, mais tu le trouve tellement classe, quand par exemple il passe une commande au bar en boite, en faisant un petit signe de main au barman. Après, il se remet une couille en place, c'est moins classe,  mais tu fais comme si tu n'avais pas vu. C'est ton homme.

La journée tu es toute seule. On ne s'est jamais parlé. Ton homme doit rentrer tard desfois, quand il sort avec ses potes, « non tu peux pas venir chérie, désolé, on est entre mec ». Il fera des blagues sur toi, leurs racontera vos parties de jambes en l'air. On parlera bagnole. Ton mec dira que telle bagnole est moche mais qu'on est bien dedans,  « oui, comme ta femme » dira un de ses pote. Et ils rigoleront pendant que tu regardera Ko-Lanta sur TF1 en mangeant des chips et en buvant du taillefine.
L'après midi, tu fais du ménage en écoutant NRJ, un peu fort. Je n'aime pas trop mais je te laisse, tu dois t'éclater. Tu prépare des petites décorations pour ton chéri, des petites bougies, qu'il regardera ironiquement, en disant qu'il est creuvé.

En fait, chère voisine, t'es un personnage Flaubertien, tu es une Madame Bovary des temps modernes, pas une Emma, non, une Tatiana Bovary. Tu ne rêve pas de partir a Venise avec ton homme, mais déjà une sortie au parc astérix ça serait bien. Et puis des petits gestes d'affections, ça serait pas trop demander.

Tu sais, je ne te juge pas. Quand tu regarde « qui veut gagner des millions » en attendant que ton mec rentre, avec le gros clebard qui bave a côté et la bouffe qui ne devrait pas attendre, moi, au dessus, j'en sais pas plus que toi.
Tu es a mon image,
Tu pousse les journées l'une devant l'autre
Respirant le même air
Nous finirons martyr
D'incompréhension
Sous un soleil
Trop chaud.

2 août 2007

Ôde à la Vasectomie.

_tude_de_proportions_du_corps_humain_selon_Vitruve
Léonard
Étude de proportions du corps humain selon Vitruve



Si je réfléchis un instant, oui, globalement, ça va.
Je suis dans le train, il n'y a pas trop de monde, la clim est presque bien reglée, un paysage prosaïque défile aux fenêtres. Ce sont peut être des écran plasma, je ne sais pas.
Tout va bien.
Si ce n'est peut être le contrôleur qui nous accable en s'évertuant à « souhaiter la bienvenue aux voyageurs nous ayant rejoint en gare de nouillorc, notre train est à destination de mon cul sur la commode, et desservira les gares de .. .... ....... .......... ...................... »
Le tout vociféré dans des hauts parleurs qui saturent joyeusement, ce qui donne un petit côté ...insupportable et légèrement suicidaire.
Mais je relativise en quêtant les côtés positifs d'une situation qui est tout de même enviable à certaines autres.
La positivité qui caractérisait mon état d'esprit d'alors se trouva fort diminué par l'entrée incertaine d'un groupe de 3 personnes, caractéristiques d'un échantillon d'une population socio-culturel que l'on nomme communément des «pétasses».
Alors en fait, non, globalement, après reflexion, ça va pas.

Je cherche des coupables à tout ce bordel que l'on nomme aventure moderne, ou existence, et la seule solution qui s'offre à moi, et d'en vouloir à mes parents.
Clairement, tout ce lot de souffrance quotidienne, jusqu'à une souffrance amadantine, existe parce que je suis vivant. Je suis vivant parce qu'on m'a mis au monde. On m'a mis au monde parce que mes parents l'ont fait. Mes parents sont la source du problème.
Ce raisonnement quintessencié mérite tout de même une plus grande analyse.
Ce qui désole dans ce monde, ce qui rend la vie insoutenable, tout l'immondice de la condition humaine, éxiste a mes yeux parce que je le vois.

Je le vois parce que j'éxiste.

J'éxiste parce qu'on m'a amené au monde.

Si on n'avait pas fait cela, tout ce qui est intolérable dans l'éxistence humaine n'existerait pas.
Cela n'éxisterais pas car je ne le verrais pas.
Ma réthorique est imbibé de pensée Cioranienne, certes. Je rêve de retrouver la condition d'avant « être ». Ma condition d'avant ce drâme qu'est la naissance.
Le monde d'avant la naissance est un monde de pure possibilité, un monde de liberté, bonheur, espace. Nous avons bel et bien tout perdu en naissant.
Je ressens le besoin impétueux de liquider mon identité.

Le plus tragique dans cette odyssée, c'est que ce crime quotidien qu'est la mise au monde,  est encouragé, inconscient et impunis.
Pour se rendre dans un pays étrangé, pour faire une demande de passeport, une demande de bourse, une inscription administrative, toute une série de conditions, de preuves, de papiers à remplirs sont nécessaire. Alors que pour une mise à naissance, il n'est point besoin de remplir aucunes conditions.

Il faut prendre ce post pour ce qu'il est, une ôde à la Vasectomie.

27 juillet 2007

Qui danse devant la mort.

l_arbre_rouge_1908
Mondrian
L'arbre rouge



Quand je suis en cours, à ma fac, juste en face de la rue, il y a un hopital. L'hopital donne sur les quais du rhone ou sur la fac.
Quand je suis en CM d'art médieval ou d'art Byzantin, et que je dort copieusement sur la table, desfois, je vois les lumières dans les chambres.
Il y a juste une rue qui nous sépare, mais il y a tout un monde qui nous sépare.
Je me disais ça, parce qu'on ne fait vraiment pas les mêmes choses que l'ont soit de ce côté de la rue ou de l'autre...

Par exemple, moi, à ma fac, j'ai travaillé ( un peu ) , j'ai bu des cafés au bat athéna, je suis allé à la BU, j'ai bu des cafés au batiment Clio, j'ai dormis sur ma table, j'ai fais pipi, j'ai mangé un sandwich nordique au saumon, j'ai bu des cafés au batiment europe, j'ai mangé des frites au resto U, j'ai bu des cafés au resto U, j'au bu des bières au resto U, j'ai fumé des clopes, j'ai fais caca, j'ai dormie dans l'amphi C toute la nuit ( merci le CPE), j'ai fait une course de caddy la nuit ( merci le CPE), j'ai tagué Marx Power sur la porte de l'amphi C ( Merci CPE), j'ai fais sauter tous les néons de l'amphi C ( Merci CPE) ( Oui, l'amphi C a beaucoup reçut...), j'ai lancé des boulettes de papiers, j'ai essayé de voler une poubelle, j'ai bronzé, j'ai joué au foot, j'ai pris des ascenceurs, j'ai fais des courses de chaise a roulette, j'ai triché.

Je suis aussi allé sur internet aux ordi de la Bibliotheque. Sur un chat, je me suis fait passer pour une fille. Une autre fille lesbienne est venut me parler. Elle m'a raconté ses fantasmes. Son kiff c'était d'enlever sa culotte sale le soir, de se la mettre sur la gueule, et de se branler comme ça, moi, un jours, je serais peut être en salle de REA à l'hopital en face de la fac, sous perfusion, sous respirateur artificiel, je pencherais la tête sur le côté, et je verrais, entre les stores, ces petits cons d'étudiants.

Je voudrais juste, encore un peu, faire danser cette vie devant la mort.

25 juillet 2007

Palais de cristal.

LHOOQ
Marcel Duchamp
L.H.O.O.Q



Mon blog a été refait.
Vous trouvez ça jolie ? OH, pas refait par l'intervention du saint esprit, non non, c'est ma très chère informaticienne-maitresse d'école qui a fait tout ça. Moi, j'ai rien fait, rien, à part dire «  ouii c'est pas mal mais heuuuu ».

Bref, le blog de l'institut te rend hommage très chère betty.

Je suis tout de même un peu embêté. Il va falloir que je la remercie. Il faut que je lui achète un palais de marbre et de cristal. Le problème, c'est que je n'ai pas assez d'argent pour cela.
Heureusement, quand on est savoyard, on trouve une solution rapidement...
Il faut que j'investisse un marché à fort potentiel, inconnu, avec un bon rendement.
Que font les gens qui vont à la messe le dimanche ? Ils mangent une hostie pendant la célébration de l'eucharistie. OH, vous allez vous dire, «  s'attaquer aux cathos, c'est pas du beau. » déjà, bravo, vous avez le sens de la rime. Ensuite, je ne m'attaque pas à eux, je profite d'eux tout en leurs rendant service.
Attendez, vous imaginez un peu le marché que c'est la production d'hostie?
D'après mes recherches, Les hosties couterais environ 4€ les 10 hosties de 12 cm de diamètre.

Voila! j'ai trouvé comment offrir un palais à Betty ! Je me lance dans la création d'une entreprise de production d'hostie.
Le siège sociale sera dans un paradis fiscal, genre luxembourg. L'usine sera délocalisé en roumanie. Je lancerais une OPA hostiLE sur les entreprise actuelle. Je pense notemment a l'entreprise Leroy SA basé à boulogne sur mer. J'aurais le monopole sur les hosties.

Des hosties prix cassés, des hosties hard-discount. Aucunes églises ne me resistera. Je serais le seigneurs des hosties. J'innoverais, avec des hosties super-size, des hosties estampillé Jésus Superstar, des Hosties goût bacon-paprika, des hosties molles, des hosties multicolores, des hosties végétariennes, des hosties frisbee, des menues hosties happy meal ( avec un jouet offert genre un Jesus GI ), des sauces barbecue pour hosties, des hosties-pièges a l'anthrax...

Je me ferais édifier un palais de l'hosties, je serais entouré d'hosties-girls en bikini forme hosties.

Et avec tout l'argent gagné, j'offrirais à ma bienfaitrice, un palais d'or de marbre et de cristal.

ps: Je pourrais aussi me lancer dans la fabrication des cierges...
Cierges parfumés au canabis, cierge-sex-toys, cierges électroniques, cierges en forme de vierge Marie...

13 juillet 2007

Pendant un certain temps.

 les_amoureux_de_vence
Marc Chagall
Les amoureux de Vence.

Le meilleur moment, c'est de se rendormir juste après que le réveil sonne. Merde pour cette fois.
A l'époque du Lycée, je devais prendre mon bus à 6h45. En plein hiver, à Chamonix, 6h45 c'est carrément de l'inconscience. Je laisse filer quelque chose comme une heure.
Va falloir que je prenne un bus. Il est encore remplit de skieur. Ca fait une drôle d'impression de prendre un bus remplit de gens en tenue de ski avec chaussures, ski et bâton. Tout le monde descend à l'arrête de la Flégère, la station de ski. Moi, je reste.
Après, j'irais marcher un moment. Dans la ville.
A 8h30, la ville n'est pas vraiment encore pour les promeneurs, pour les vacants. Dans n'importe quelle ville. C'est encore le règne des livreurs. Les bouchers fignolles leurs vitrines, les vendeuses nettoient les vitres des boutiques, des cartons par terre, partout.
Ce ne sera que poussé par un impétueux besoin de sécher les cours que je me promenerais en ville aux aurores.
Chamonix, milieu de l'hiver, je suis seul avec mon sac de lycéen, à me promener, à 8h30.
Je vais me chercher des croissants. J'irais prendre un café dans le petit centre commercial.
A cette heure-ci, ma classe, devait surement être en math, ou en physique. Et je suis là. Errant seul dans cette ville de touristes. Il n'y a personne d'autres comme moi. Il fait froid. Le printemps reviendra plus tard...
C'est dans ces moments ou je me sens échapper à la destinée- qui dans ce cas devait me coller au fond d'une salle de classe, à côté d'un radiateur de préférence- que je ressens le plus l'agréable et légère sensation d'être libre. Cela associé à un goût vicieux pour un certain échec, une certaine deception que je peux renvoyer à certaines personnes.
Peut être qu' on ne ressent la liberté qu'en fuyant d'une manière ou d'une autre des responsabilitées, qu'en tirant son chapeau devant la ligne droite qui est tracée.
La libertée aura toujours eut l'odeur des croissants dans un matin froid, avec le bruit des livreurs derrière moi, et mes pas qui résonnent dans des ruelles innocentes.
Après, plus de bus évidemment. Le lycée ne s'est pas installé dans cette ville touristiques. Je vais devoir faire du stop. Toujours avoir des gants pour faire du stop en plein hiver.
Le bord de la route, les aiguilles qui défilent. J'aurais aussi raté le cours de 9 h. Je commencerais a 10h, soit. On s'arrête enfin. On me posera sur la bretelle d'autoroute. Les voitures fileront tout droit, dans une ligne droite qui tranche la vallée en deux, pour mieux s'en éloigner. Moi, je traverserais l'autoroute à pied. J'arriverais au lycée, je prendrais un café à la machine du bat C. Je montrais au sommet du batiment, pour ne pas trop éveiller l'attention, je boirais mon café les mains au chaud sur le radiateur, regardant par la fenêtre le paysage enneigé, salit sur le bord des route, et l'autoroute, blanche, qui s'élance en deux virages moqueurs, s'adressant au pauvre connard que j'étais, qui restais sur le bord de l'autoroute, dans un lycée, à apprendre des choses qui ne me serviront plus jamais.
Après, j'irais peut être derrière la porte de la salle ou je devais avoir cours. J'aime à entendre la voix du professeur, qu'il ne s'imagine pas que je suis derrière. Je suis dans une zone intermédiaire, ni dedans, ni dehors, je vous roule tous dans la farine.
J'imaginerais ma place, vide, ma chaise bien en place, la table avec rien dessus.
Après, il ira trainer au CDI en regardant des monographie. Il n'y en a pas beaucoup dans ce lycée. Il s'arrêtera sur du Goya et du Chagall. Surtout « Les amoureux de Vence ». Il trouvera que cela est silencieux, intemporel et gracieux.
Après, il sortira à la pause de 10h, il retrouvera ses potes, il fumera une philippe morris et râlant sur cette pute de prof de sport. Il a oublié qu'il y avait sport à 10h, il n'a pas sa tenue.
Il prend le chemin du gymnase, relevant le col de sa veste, soufflant une bouffée de fumée de cigarette glacé qui se mélange à la vapeur produite par son souffle. Il songera aux voitures qui passent la cinquième sur l'autouroute, juste derrière. Il imaginera les bandes blanches défiler sous ses yeux, pendant un certains temps...

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